Une révélation choquante. | Zoé & Tom

Une révélation choquante.
Zoé & Tom

❧ La nuit était tombée depuis maintenant quelques heures. Tu pouvais agir, aller tuer plusieurs créatures, comme tu le faisais depuis ton arrivée à New-York. Les attaques de masses n’étaient pas comme tu le voulais, elles n’étaient que très rares, ce qui voulait dire que le reste du temps il n’y avait pas de massacre. Tu t’en foutais de ce que les membres du cercle pouvaient bien penser de ta façon de faire. Tu fonctionnais comme tes parents, tu agissais la nuit. Tu voulais les rendre fière même s’ils ne faisaient plus partit de ce monde. Venir à New-york était simplement pour avoir une plus grande chance d’avoir cette vengeance. Depuis la mort de Valentin, tu savais que tu n’avais plus de chance, il ne fallait que compter sur toi-même. Bien que les membres du cercle avaient la rage contre le monde obscure, tu avais l’impression qu’ils n’osaient plus agir. Tu n’avais pas peur de l’Enclave, tu étais bien trop maline pour qu’ils t’attrapent. Tu n’hésitais pas à faire plonger des innocents, pour ta protection, rien ne pouvais t’arrêter. Ta rage était bien trop grande à présent. Avançant sur les toits des immeubles, tu observes la ville et ses mouvements. Rapidement tu aperçois un suspect, un vampire dans une ruelle reculée. Il semble vouloir prendre un humain comme diner.

Ta rune d’invisibilité activée ainsi que l’agilité, tu sautes du toit atterrissant entre le vampire et l’humain dos à toi. Tu te dois de protéger les humains de ses vermines, tu dois les tuer pour que leur nombre diminuent jusqu’à finir par disparaitre. Tu sors tes poignards. Le regardant droit dans les yeux le regard noir, il semble mécontent d’être séparé de sa victime. Un sourire aux lèvres tu fonces rapidement sur lui pour te battre. Finalement tu réussis par le tuer avec ton poignard. Un sourire victorieux sur les lèvres tu essuies ton arme. Un en moins. Tu loupais rarement tes cibles, tu te battais jusqu’à les tuer, et si elles arrivaient miraculeusement à s’en aller tu les retrouvais toujours pour mettre fin à leurs jours. Tu t’apprêtais à partir quand une silhouette familière apparaissait devant, le visage froid tu le regardes. Ton cousin, tu l’as déjà revue depuis ton arrivée, mais il ne sait pas qui tu es. La seule chose qu’il connait sur toi est le fait que tu appartiens au cercle. Tom est quelqu’un que tu pensais pouvoir sauver mais tu t’étais rapidement rendue compte qu’il était tout ce que tu détestais chez quelqu’un. « Heureusement que j’étais là, sinon l’humain aurait été tué. C’est sûr que ce ne serait pas toi qui aurais mis fin aux jours de ce monstre de vampire. Tom. » dis-tu en jouant avec ton couteau. Tu n’avais jamais prononcé son nom jusque-là, il ne te l’avait jamais dit non plus mais tu savais reconnaitre les membres de ta famille même si pour toi il était une erreur de la nature.

Une révélation choquante

Feat Zoé Martin

Il faisait noir, j'aurais eu du mal à distinguer tout ce qu'il y avait si les rues de New-York n'était pas si éclairé, il est vrai qu'il y avait des lampadaires un peu partout et les enseignes des différents magasins et restaurants n'arrangeait pas les choses. Ce n'était pas pour rien qu'on appelait New-York, la ville qui ne dort jamais, ne pas dormir c'était facile mais marché toute la nuit pour surveiller qu'il ne se passait rien c'était long. Le problème était qu'il se passait rarement quelque chose, j'étais loin de savoir ce qui allait m'arriver.

Je passais une main dans mes cheveux, je m'étais arrêté dans un fast food pour me prendre quelque chose à manger, j'avais faim et le temps était vachement long, je finis le hamburger que j'avais pris et je me remis en route, au moins si je devais me battre, ce ne serait pas le ventre vide. Je vis quelque chose bouger d'un toit puis un hurlement, je courais le plus vite possible, jusqu'à ce que je tombe sur une femme, entrain de tuer un vampire, je sortis mon poignard séraphique et je fronçais les sourcils. Elle m'adressa la parole mais ce n'était pas ça le plus étonnant, c'était qu'elle connaissait mon prénom.

Qui était-elle ? Je n'en avais pas la moindre idée, son visage me semblait familier, mais je n'avais aucune idée de l'endroit où j'ai pus le voir. Est-ce qu'elle était une ancienne membre de l'institut qui a rallier le cercle ? Je pense que je m'en rappellerais. J'haussais un sourcil et je me mis en garde. Je lui dis :

- Qui êtes vous ? Et comment connaissez-vous mon nom ?

Je finis par froncer les sourcils, je l'avais déjà vu quelque par mais c'était impossible de m'en rappeler, je soupirais et je la regardais, son comportement et ses actions trahissait son appartenance au cercle. Eliott aurait-il parlé de moi à des membres du cercle ? J'en doutais, mais c'était peut-être à cause de lui qu'elle me connaissait. Elle critiquait les méthodes de l'enclave comme tout les membres du cercle, j'ajoutais :

- L'enclave emprisonne mais ne tue pas ! Vous pensez vraiment que le meurtre est la solution ?

Si elle me reprochait de ne pas tuer, je pouvais bien lui reprocher de le faire, l'enclave était dure au niveau de la loi, je ne voyais pas pourquoi il se plaignait, c'était même sa devise "La loi est dure mais c'est la loi".

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❧ Tu connaissais toute la ville et ses recoins, tu chassais souvent la nuit dans des endroits différents. Tu traquais ta proie jusqu'à mettre fin à ses jours. Tu détestais toutes ses créatures, elles ne méritaient que la mort. Si tu faisais ça c’était pour protéger tes frères et les humains qui subissaient toujours les actes des créatures. Ces monstres. Tu observais ton cousin puis glissais enfin son nom, lui qui était tellement naïf. Il se plaçait en garde, tu rigolais presque. Il était vraiment un abruti. Tu ranges tes poignards à leur place habituelle tout en regardant ton cousin. Comment pouvait-il être de ta famille ? « Quelqu'un qui te connait bien plus que tu ne pourrais le croire. » dis-tu simplement d'une voix assez provoquante. Tu n’as aucunement peur de lui, il est le contraire de toi, il est faible. Il te fait honte, réellement. En quelques secondes tu n’aurais qu'à sortir tes poignards pour lui trancher la gorge. Tu ne le fais pas car tu plus belle vengeance sera de mettre fin aux créatures pendant que ces minable Shadowhunters aveuglent assisteront au spectacle.

L’enclave est une pourriture, laissant mourir les leur lorsque cela tourne mal, au final l’enclave n’est pas si différente du cercle dans un sens. Sauf que le cercle n’abandonne pas les siens, vous vous battez jusqu'au bout. Tu as toujours dit que tu préférerais mourir en combattante qu'en lâche. Tu n’avais pas peur de la mort et tu savais qu'elle te fuyait. La terre avait encore besoin de toi. « L’Enclave, un mot qui me fait bien rire. L’enclave est bien pire. Elle laisse les leurs mourir pour ne pas se salir les mains. » dis-tu froidement et sérieusement. Après tout tu savais de quoi tu parlais. Tes parents étaient morts à cause de l’Enclave qui n’avait pas bougé un doigt et pour la seconde fois de ton existence. Elle se cachait derrière des lois sans queue ni tête. Aucunes créatures ne respectaient les règles, c'était pourquoi tu agissais. Combien d’humains devraient encore subir la fureur des créatures, que ce soit vampires, loups, fées ou sorciers. Tous étaient identiques. A pourrir la vie des simples humains qui ne demandaient jamais rien. « Tu sais Tom, l’Enclave est bien différente de ce que tu penses. Elle ne se préoccupe que de sa personne et ce peu importe les conséquences. Je sais de quoi je parle. » dis-tu en t’appuyant contre le mur observant tes ongles.

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Feat Zoé Martin

Cette impression était beaucoup trop étrange à mon gout, elle me connaissait mais moi non, le cercle espionnait-il des membres du cercle ? Si c'était le cas, il pouvait espionner quelqu'un d'autre, je n'avais aucune info et je doutais qu'Eliott leur avait dit quoi que ce soit, c'était plus gênant pour lui que pour moi. Qui pouvait bien être cette jeune femme. Apparemment, elle me connaissait bien plus que je ne le pensais, tant mieux pour elle. J'haussais un sourcil :

- Comment peux-tu me connaître ?

Pourquoi rangeait-elle ses poignards ? C'était fou, le cercle se pensait vraiment supérieur à nous. Les niveaux étaient égaux et si elle pensait pouvoir partir sans problème, elle se mettait le doigt dans l'oeil et jusqu'au coude ! Je soupirais et je rangeais à mon tour mon poignard, je n'allais pas l'attaquer alors qu'elle était désarmé, j'avais encore de l'honneur. Elle insulta l'enclave, mon poing se serrait pour éviter de m'énerver et je dis :

- C'est vrai qu'exterminer des êtres vivants, c'est bien mieux !

Le sarcasme s'entendait fortement dans sa voix, je la regardais en fronçant les sourcils, elle m'énervait et j'avais la soudaine impression que ce ne serait pas la première fois que je la verrais. Je passais une main dans mes cheveux et je lui dis :

- Au lieu de cracher sur le cercle, tu pourrais me dire ton prénom ?

Je voulais savoir qui elle était et pourquoi son visage m'était si familier, j'étais loin de savoir ce qui allait arriver.

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❧ Tom était quelqu'un que tu aurais pu apprécier mais ce n’était pas le cas. Il était tut ce que tu détestais, tu le reniais comme s'il n’était pas de ta famille. De toute façon il ne savait même pas qui tu étais. La seule chose dont il était certain était tout simplement que tu étais une cercliste. Tu étais fière de l’être même si tu trouvais qu’ils n’agissaient pas assez. Tu étais déterminée à rendre le monde meilleur, enlever la vermine. Pour toi les créatures obscures ne méritaient pas de vivre. Des abominations de la vie, que tu devais détruire jusqu’au derniers. Il semblait intrigué que tu puisses le connaître. Tu souris sans lui donner de réponse. Il n’était pas question que tu lui donne d’où tu le connaissais, du moins pour l’instant. Tu rangeais tes poignards car tu savais qu'il n’allait pas t’attaquer et s'il le faisait il allait directement à sa perte. Tu ne comptais pas tuer un membre de ta famille et même si tu le détestais, tu mettras fin à ses jours que s'il t’attaque. Tu es loin d’avoir peur de lui tu as bien plus d’heure d’entraînements que lui. « La plupart ne sont plus vraiment vivants comme les vampires ou même les sorciers qui sont immortel. » Pour les loups c’était différant eux étaient dangereux pour les humains. Tu n’avais que faire de ce qu'il pouvait penser de toi, il ne savait pas vraiment de quoi était capable les créatures obscures. Eux n’hésitaient pas à massacrer les humains ou même les tiens, et ça tu ne le laissais pas passer. Tu rigoles. « Tu n’écoutes rien, tu es bien pire que je le pensais. » dis-tu simplement amusée. « Tu fais vraiment pitié mon cher Tommy. » dis-tu en le regardant dans les yeux. Il était vraiment désespérant, et le pire c’était qu'il était ton cousin.

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La tolérance avait-elle quitté son corps ? Comment pouvait-elle penser que des être vivants étaient inférieurs à elle, elle qui semblait tellement méchante. La plupart était né en tant que créature obscure et il n'y pouvait rien, c'est comme si on me reprochait d'être roux ou homosexuel, c'était la nature et on ne pouvait rien y faire, ils n'allaient pas changer leur nature seulement pour faire plaisir à elle et aux autres. Au final, les monstres c'étaient les membres du cercle qui tuent des innocents, pas les créatures obscures qui n'ont rien demandé à personne.

Elle a beau me dire qu'ils étaient soient déjà morts soit immortel, tant qu'ils ont une conscience à mes yeux, ils restent des êtres vivants. Je soupirais en la voyant, c'était déjà une cause perdue. Elle se met à rire en m'insultant à nouveau, elle avait beau me penser pire qu'elle, je savais qu'au fond, mon âme était bien plus pure que la sienne. J'haussais un sourcil et je lui dis :

- Je me fiche de ce que tu penses de moi.

Elle m'appelait Tommy, pour qui se prenait-elle ? Au dernière nouvelle, on avait pas garé les mobilettes ensemble ni élever les cochons. Je ne la connaissais pas et elle pensait qu'elle pouvait m'appeler comme elle voulait, elle m'énervait de plus en plus. Je dis sur un ton sec :

- Ne m'appelle pas comme ça. Personne ne m'appel comme ça.

Faut dire que je ne parlais avec pas grand mon, mais je ne pensais pas vraiment à réfléchir en ce moment.

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